22 juin 2009
Le sonnet tremblant
Je vis dans un espoir éternel, infinimon heure de labeur ne connaît point de répitétranger au monde sourd, je danse à l'abride ceux qui jadis prirent le nom de mes amis. Mon Dieu, partez! Entendez! Fuyez, mais fuyez!Quittez maintenant ces rives amères...